
pas à pas avec nos pèlerins
Journée de transition. Notre moyen de déplacement sera le bus.
Le mot de la veille [1]
Nous démarrons dans le brouillard avec une forte montée qui débouche sur le col d’URBIA. Vue panoramique sur la plaine d’Alava.
Nous entamons une descente périlleuse le long d’un sentier de chênes et de hêtres à travers la forêt jusqu’à Egino.
À la maison de prière « Haiztur », de charmantes religieuses nous accueillent avec une délicieuse sangria (sans alcool !) faite maison, qui nous fait rapidement oublier douleurs & courbatures.
Ce jour, nous avons prié la Contemplation pour obtenir l’Amour de St Ignace avec nos 5 sens :Sentir le chemin sous mes pas, respirer les odeurs du sous-bois, admirer une toile d’araignée perlée de gouttes de rosée, la couleur des feuilles ou une haute futaie…Contempler le groupe qui chemine et disparaît au détour du chemin.
Rendre grâces… Cécile et Jean Benoît
Au programme de ce 8 août :
Journée de transition. Notre moyen de déplacement sera le bus. Nous quittons Egino pour arriver vers la fin de la matinée à Pampelune, capitale de la Navarre, la ville dont Iñigo défendit la citadelle lors du siège de l’armée française en 1521 et où sa jambe fut blessée par un boulet de canon. Moment d’adoration à la Basilique Saint Ignace, visite des murailles
Nous reprenons le bus qui nous conduit au château de Javier, lieu de naissance de Saint François-Xavier, un des premiers compagnons d’Ignace. Nous aurons l’occasion de découvrir cette personnalité hors du commun par la visite du château.
Parole d’Ignace... :
"...chercher la présence de notre Seigneur en toutes choses, par exemple, en conversant avec quelqu’un, en allant et venant, en voyant, en goûtant, en écoutant, en pensant, finalement en toutes nos actions, puisqu’il est vrai que sa divine Majesté est en toutes choses par sa présence, sa puissance et son essence. Cette manière de méditer, qui consiste à trouver Dieu notre Seigneur en toutes choses, est plus facile que de s’élever aux choses divines plus abstraites, en prenant beaucoup de peine pour s’y rendre présent. Cet excellent exercice nous disposera à de grandes visites du Seigneur, même au cours d’une brève oraison » (Lettre au Père Antoine Brandao, 1er juin 1551)